Après la D1 et la D2, on s’intéresse enfin aux équipes francophones qui constitueront les séries de Nationales 3. Le Hainaut sera le mieux représenté, mais on retrouvera encore les équipes du Brabant Wallon/Bruxelles-Capitale réparties dans trois des quatre séries.
NATIONALE 3 (45 clubs francophones, soit 80,3%)
1. Hainaut 15 équipes, dont 4 en N3B et 11 en N3C (+1)
2. Brabant Wallon/Bruxelles-Capitale 11, dont 3 en N3A, 5 en N3B et 3 en N3C (+2)
3. Liège 8 en N3D (+2)
3. Namur 8, dont 5 en N3B et 3 en N3D (=)
5. Luxembourg 3 en N3D (-2)
Entre parenthèses: l’évolution par rapport à 2019-2020
Le Hainaut garde la première place et progresse encore d’un club. RS Façade Soignies a été déclaré en forfait général en cours de saison et JC Ecaussinnes a préféré redescendre en P1. Mais Haine-Saint-Pierre City a accompagné le premier classé de la P1 de Boca Hermano Jumet en D3, tandis que Futsal Courcelles est arrivé de l’Union Belge.
Le Brabant Wallon/Bruxelles-Capitale se rapproche toutefois quelque peu en passant de neuf à onze équipes. C’est la province dans laquelle il y a eu le plus de montants de P1 avec, outre le matricule du champion provincial, les formations d’Ares UTD Bruxelles et FSE Jette Crew. Il y aura ainsi des équipes brabançonnes/bruxelloises dans trois des quatre séries.
Liège fait aussi mieux avec deux équipes de plus. Ses six équipes réunies la saison dernière en Nationale 3D sont rejointes par Team GSI Verviers et MFC Sougné.
La Province de Namur conserve ses huit équipes à ce niveau malgré le promotion de l’Inter Namêche. Et cela aurait pu être même neuf, si le matricule de l’ex-MSG Ernage associé désormais à Hall Boys Auvelais avait décidé comme le permettait l’A.B.F.S. de se maintenir (vu la crise du Covid-19) en D3.
Le Luxembourg, par contre, s’enfonce un peu plus. Cette province n’avait déjà que cinq clubs -dont Sainte-Marie 87 (photo)- qui ne seront plus que trois. BJ Libramont est monté en D2, alors que le Celtic Nassogne a stoppé les frais.
NICOLAS TOUSSAINT