L’Atletico 2 Auvelais, qui a changé d’appellation pour prendre celle de Gtelecom Team Sambreville, reste sur une quatrième place en N3B. Capables du meilleur comme du pire, les équipiers de Simon Sorce ont surtout manqué de structures solides pour espérer mieux. Mais ce problème résolu et avec, désormais, Tirlemont United et BF Dinant en D2, doit-on s’attendre donc à voir les Sambriens disputer le sacre en 2013/2014 avec les Brabançons flamands de OO Kessel-Lo qui ont terminé juste au-dessus d’eux? L’un des joueurs Sambrevillois, Quentin Lambot, nous livre ses impressions.La quatrième place à la fin du championnat 2012/2013 correspond-t-elle à vos attentes de départ?
On la considère comme positive, même si le podium qu’occupait justement OO Kessel-Lo, que nous avons laminé 12-0 à Auvelais, était dans nos cordes. Mais nous avons déjà démarré très mal en concédant un premier forfait. En déplacement, nous nous sommes souvent retrouvés loin d’être au complet. On a ressenti une certaine démobilisation et, du coup, nous avons un peu terminé en roue libre.
Gtelecom Team Sambreville fait-il partie des favoris pour le prochain championnat?
Il est vrai que nous avons réussi à solidifier notre comité. Chacun a désormais un rôle bien défini. Cela nous permettra d’uniquement penser à développer notre meilleur futsal. Mais de la à viser directement le titre avec une nouvelle structure qui doit encore faire ses preuves, c’est aller vite en besogne.
Qu’attendez-vous, dès lors, concrètement de l’exercice à venir?
On espère confirmer et on devrait le faire vu que nous avons conservé quasi tout notre effectif, renforcé par la venue de Quentin Fernémont du Purple Auvelais, tandis que Loïc Noël reprendra la compétition. A moyen terme, par contre, nous ne le cachons pas, nous souhaiterions découvrir l’élite.
Qui seront vos plus sérieux concurrents dans la série?
Les trois équipes promues du Brabant Wallon/Bruxelles-Capitale, dont le niveau du championnat de P1 est reputé élevé, ne devraient pas faire de la figuration. Je pense plus particulièrement à L.A.R.T. Bruxelles, dont le noyau est composé d’éléments qui officient en D1 à l’Union Belge. Et comme les Bruxellois ne cracheraient pas sur une seconde promotion de suite, on peux s’attendre à les voir dominer la hiérarchie.
Nicolas TOUSSAINT